C'est vrai que sans ses blessures, Auriol aurait certainement fait du Monofaro le premier elefant à gagner un Paris-Dakar...
Il sera devenu mythique pour être passé à côté par malchance et pour le courage et l'abnégation de son excellent pilote.
Merci Mickey d'avoir remonté ce superbe docu sur la course 87.
La ténacité d'Auriol pathétique mais à l'arrivée de l'étape où il se brise les deux chevilles nous a tous marqué : il dit en larmes "j'arrête la moto", on n'a pas fini de regretter ses fractures, alors qu'il s'était quasiment arrogé la victoire en Elef devant la Honda.
Cyril Neveu craque autant que lui en le voyant brisé moralement...
Souvenir, souvenir...
Modifié en dernier par Elefafzéro le mer. 5 mars 2014 17:17, modifié 1 fois.
Ça trompe énormément, ou ça ne trompe pas énormément, là est la question