Du sur-mesure avec très certainement plus de minutie que chez nous...
Ils attendent qu'on vienne leur proposer un boulot
et y en qui ont trouvé...et il a bien du mérite de repeindre une façade
sans escabeau et avec une rallonge bricolée
l'EDF marocain ne fourni pas les échelles...
C'est pas tout ça mais va falloir rejoindre le port de Tanger-Med
et débarrasser le trottoir pour que le marchand puisse installer son stand
Le retour Tétouan - Tanger par la N13 nous montre un tout autre Maroc :
celui des gazons tondus à ras, des golfs luxueux, des alignements de résidences
de vacances au bord de mer et des limitations à 40km/h
Il est évident que le jour où on y retourne, nous reprendrons la piste prise à l'aller
Finalement la partie sud de cette route côtière faite hier, nous manque déjà, les camions monstrueux,
la boue, la poussière, même la saleté avaient un coté plus humain que ce Maroc
de carte postale pour touriste (très) fortuné
Une pluie fine vient en rajouter une couche à notre coup de blues...
Il y a déjà beaucoup de monde prêt à embarquer, on nous demande de nous dépêcher
alors qu'il reste deux heures avant le départ du bâteau...
Ils n'ont pas du faire le même Maroc que nous, elles sont nickel
je préfère le look des nôtres
et eux aussi sont nickel
Gégé a dit : " c'est pas parce-qu'il y a marqué Touratech dessus qu'il y a de la poussière dedans..."
Mais pas un sourire, rien, ignorance totale
comme ce groupe de BMwistes italiens rencontrés à la sortie des
Gorges du Dadès, c'est triste et j'ai vraiment beaucoup de mal à comprendre
ces comportements, comme ces gens qui ne disent jamais bonjour....
Surtout après avoir passé 15 jours au Maroc, pays du sourire
ça n'arrange vraiment pas notre envie de rentrer
Le coeur gros, on fini par s'installer dans notre cabine, largement en avance ....
La seule chose qu'on est sûr de ne pas réussir est celle qu'on ne tente pas - P.E Victor
mais je partage ton avis concernant internet, facebook, les forums et autres moyens de rester « connecté », parce que souvent j’ai l’impression que les voyageurs d’aujourd’hui ne pensent qu’au compte-rendu du voyage et à raconter dès que possible leur vécu du jour de peur peut-être que demain l’information sera « obsolète » plutôt que de se retrouver autour d’un thé à la menthe et de laisser finir la journée tranquillement en profitant de la fraicheur du soir. 
