Quand Mimi dit que le monde est petit .
Le samedi en rentrant de ma virée , je fais le plein à Sisteron , un gas en voiture m'aborde et me demande des précisions au sujet du 1190 R, c'est un motard, blablablabla et reblablabla .... il connaît les Cagiva, 2 motards de son village on en !!!!! C'est Olive et Pierrot !!!!! Le gas en question est plombier à la Gaude et passe bien le bonjour aux précités .

Merci Mimi pour ce beau compte-rendu d'un tout aussi beau week-end. Je regarde les photos - et tous ces elefant - avec un plaisir toujours renouvelé et repense à l'accueil chaleureux, aux belles pistes, aux virolos, à l'attaque parfois (ah bon, t'attaquais, toi?), à la marquisette , la Faurie en folie, et bien sûr à tous ces elefantistes volants sur leur drôles de machines qui ont fait que ces deux jours resteront gravés dans nos mémoires.

Trop dur de voir ces images

Vivement le Mont Dore

bien vu toutes ces belles images!pendant ce temps la avec pierrot on demontait ma fourche qui fuyait en fait parcequ'il y avait trop d'huile et en plus c'etait de la w10...commandé les nouveau spy chez le dafy de draguignan+huile w10 etw5 pour faire de la 7,5 pour finalement remonter les vieux spy dans une fourche propre et miracle je ne reconnais plus ma becanne,effet pullman garanti et nous voila parti de nuit rejoindre henri au milieu du var faire la teuf!(retour au soleil levant!) pour info les spy chez dafy:fork oil seal mgr-rs02 41,7X55X10/10,5 et ça vient de chez ATHENA (a qui je fais deja confiance pour mes slip!) a la prochaine les elefs,salute

Salut Christian,
attention, la réf que tu donnes n'est pas la bonne ! Cette dernière est d'ailleurs déjà référencée dans le forum dédié :
spy fourche 900 IE LE : 41.7x55x7,5/10. Bihr réf. 640 059 env. 9,90€ la paire.

ah ouai?mais les ,5 en plus ne devrait pas gené le montage du clips on a bien regardé et ça devrait le faire...sinon meme prix chez daffy et en 24h...pierrot etait assez deçu par les bihr,niveau qualité, 3 montage:demontage!!enfin mes vieux joints ne fuit plus (pour l'instant)j'en ai donc une paire pour la prochaine fois!!merci pour l'info quand meme,a bientot

Les Bihr à pas chère sont bof, moi et un pote en ont fait les frais sur des meules à usage pure TT, (DRZ et KLXR) bilan ça s'est remis à fuir rapidement, ils nous les a refaits sous garantie car, mais avec des joints de meilleurs qualité, plus de soucis.

Tu ne pourras pas mettre le clip avec les 10/10,5 car le 10mm correspond à l'épaisseur du joint (là où justement vient s'appuyer le circlip) le 10,5mm correspond à l'épaisseur avec la lèvre...

Le bon spy fait 8mm d'épaisseur à l'endroit où le circlip s'appuie...

Pour info, il est bon de sortir le ressort du spy, de le dévisser et de le couper de 6 ou 7 mm avant de le remonter...ça augmente la pression des lèvres sur le tube et retarde sensiblement l'apparition des fuites... Une astuce de trialiste que j'applique systématiquement sur toutes mes bécanes...[emoji41]

Voici la bonne référence chez Athena et on les trouve à 10/11 euros sur eBay...

Chez Bihr...

C'est trop cool, le CR attire enfin du monde et provoque enfin des commentaires !
Comme quoi les pourrissages de posts ça a du bon

Le pov' Elefaf ne va plus rien comprendre quand il va rentrer de congés et vouloir regarder les photos

merci joel pour ces precisions,je vais voir si daffy m'echange la pochette...(desolé mimickey d'avoir "pourri" le post!)

C'est pas grave Cresio mais c'est dommage que des données mécaniques se mélangent et se perdent dans des posts non spécifiques alors que ça pourrait servir à d'autres....

Eh, je suis rentré, tard mais content.

C'est Elefafzéro, Elefaf, c'est Guillaume.

Il était Elefaf 2 et puis voilà, il a repris les codes de son père, vu qu'il avait paumé les siens, et c'est très bien comme ça.

Or voici : c'était comme si Jean-Mi avait été là : je vous en dirai mon idée.

Alors quand tu dis qu'Elefaf va revenir, c'est comme s'il avait fait un retour dans nos cœurs, et quand je me suis retrouvé monté de guingoy pour finir par rouler à son train de sénateur, c'est même qu'il était là, avec moi, sur la bécane de son fiston...

Demain j'édite ceci pour raconter mes émotions et mon enchantement.

Et remercier Mickey encore, mais là, déjà, merci à vous, ses potes de Sausset, pour m'avoir chaperonné comme un bébé!

Merci à Grisly, comme un grand frère des ours : il assume superbement bien le rôle.

Merci à Seb, attentif et toujours attentionné lui aussi, avec une moto tout aussi mastoc et pourtant si véloce.

Merci à Boby d'être solidairement monté en apportant sa camaraderie bonhomme et généreuse.

et donc merci à Mickey, si hospitalier, et si gentil.

Demain donc, votre poireau de la desmo vous ajoute des couleurs, mais en prose!

Je m'aperçois en revenant ici que je n'ai pas écrit : Merci à Gégé et Mimi.

Évidemment.

Ils sont tellement attendrissants, comme des siamois; sur la route, c'est Gégé qui est devant et qui ouvre la trajectoire avec une totale maîtrise; sur la piste, il la laisse passer pour la laisser partir, et c'est qu'elle envoie, Mimi!
Après il la rattrape!
mais là, il m'a pouponné comme un perdreau de l'année, en alternance avec Grizzly.

Merci!

Chose promite chose duse : je voulais colorer le récit du tété.
Et que cette prose commise point ne vous rebute, voici les couleurs de nos Alpes en été.

Cette sortie TT sur les détours des pistes sues seulement de Mickey et Grizzly et qui resteront secrètes, forcément, leur jardin et ses zigouigouis, s’pas, ce fut un formidable bol d’air.

Si les itinéraires restent secrets, c'est surtout parce que je ne sais pas du tout par où on est passés.

Mais je suis passé, et c'est bien suffisant pour moi.
Me suis-je surpassé, peut-être, peut-être pas : je n'avais pas la monte de pneus adéquate, et puis l'embonpoint du réservoir de l'AC est quand même un peu gênant à mon goût pour virevolter.

J'appréhendais de mettre le LE de Guillaume par terre, et son pneu neige en 60 de hauteur derrière le rendait surbas du train arrière, avec le guidon bien plus haut que nécessaire, et comme je ne me levais pas, parce que le réservoir me semblait bien plus large que la largeur entre mes pieds et me faisait écarter les genoux, j'ai fini par avoir mal aux fesses, ce qui est un comble en TT!

Soyons francs : ça fait trente ans que je n’avais pas fait de TT, à part la petite série de montées en sous-bois avec Guy et Fifi au printemps, et soyons réalistes : ça fait quinze ans que je ne roule quasiment plus en moto ou très irrégulièrement.
J’en ai un peu ch….é, forcément.
Et pourtant, je ne suis pas maso.
Mais quand il faut monter bien raide sur l'herbe et amorcer en dévers une courbe en haut pour sortir en ligne juste là où ça peut passer dans le même mouvement sans s'arrêter pour réfléchir, ou passer une petite marche en descendant en dévers encore, on ne se pose pas de question, on y va en se déhanchant, et on passe!

En fait c’est encore plus bête : j’ai voulu y être parce qu’Elefaf m’en a tellement parlé, d’aller faire du TT avec ses potes Gégé, Mimi, Phil, Mickey, qu’en me trouvant sur place au bon moment, juste en haut de la vallée de l’autre côté, je me suis dit que je me devais d'y être à sa place, de le remplacer pour le représenter.
Objectivement, il aurait probablement fait attendre les potes au moins autant que moi, sinon plus, mais le fait est là : ils m’ont attendu un bon peu, avec une gentillesse, une patience, une générosité et une camaraderie vraiment appréciables.

Je pense qu'il ont tout revu à cause de moi; le timing, les itinéraires et leur difficulté.
On a même dû renoncer à faire quelques courses pour se faire un pique-nique le samedi, et du coup, rejoindre cette petite auberge tenue par un clan ami de celui de Grizzly : on a tout de suite compris qu'on était chez des montata, des montagnards, comme dirait Jean-Michel, des locaux de chez eux, qui devisaient avec Mickey et Grizzly des variantes pour passer dune vallée à l'autre par les crêtes, en prenant dix kilomètres de pistes au lieu de soixante-dix ou plus de routes...
Pas moins de sept pour faire le service : toute la famille et les apparentés, les proches intimes, la mamie, créatrice du clafoutis aux abricots, elle-même : un clan perdu au milieu du maquis...

Alors les couleurs : magiques : le bleu du ciel, les ocres des pierres et parfois leur blancheur, la verdure et le mauve des lavandes.
On tient à ne pas trop dire sur un espace de communication public, et Mickey vous en dira peut-être ce qu'il y aura à confier sur la question si vous le lui demandez en privé, mais il y a encore des endroits préservés du passage des hordes de clientèles motorisées et guidées, désormais, ou de quads trop nombreux, entre les Alpes et la Provence, entre le Rhône et la Durance...
Ces endroits ont été des lieux de passage escarpés ou de vastes cachettes inaccessibles, au contraire, au fil de l'histoire, et ils le restent, pour le calme et la plénitude de ceux qui les connaissent et qui les partagent avec discrétion, parcimonie, amitié et générosité.
Pas de photo, mais des souvenirs de hauteurs à couper le souffle, si près du ciel.
Merci encore, Mickey, Grizzly!

Les deux semaines suivantes, avec la sauterelle, le petit trail mono nippon bien chaussé, lui, que j'avais apporté aussi, j'ai emmené ma fillette en selle sur les pistes, du coup, en finissant à la nuit tombante, pour ne déranger personne, ni les marcheurs, ni les troupeaux, par un col de randonnée pédestre réputé localement, la veille du départ.

La conclusion est claire : pour le TT, il faut une moto adaptée, ce que le AC n'est pas pour tout le monde, et si on est novice, la discipline nous tend les bras, mais il vaut mieux s'y faire la main avec une moto un tantinet plus facile : à poids égal, le monof ou le bif sont probablement plus maniables entre celles d'un poireau comme moi.

Et c'est là que je me suis dit que jean-Mi avait été bien conseillé par Phil, Gégé et Mimi, quand il était allé trouver un troisième Elef en Suisse, ce bif menthe à l'eau avec lequel il aurait participé à ce TT alpin, pour sûr, et sûrement plus facilement.

Quand je suis rentré au Dévoluy, j'ai déposé sur la table quelques brins de lavande, comme Victor Hugo, en descendant vers Harfleur, un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs, et puis le lendemain de la balade, je suis retourné tirer sur les muscles en montant au Pic de Bure avec les miens, là où Manon nous a promis de monter ensemble pour célébrer le souvenir de son père.
J'étais encore émerveillé des impressions de cette virée motorisée au moment de grimper dans les pierriers.
Avec le sentiment qu'il n'était pas bien loin..
"...nous sommes les montata, les montata, les montagnaaaaards!"