l'éléfant bleue aux champs
Re: l'éléfant bleue aux champs
Oui et ça peut vite donner ça
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- bushman
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Re: l'éléfant bleue aux champs
quelle idée, y a pas un chemin sur la droite ?
« Un des grands malheurs de la vie moderne, c'est le manque d'imprévu, l'absence d'aventures. » Théophile Gautier
Proverbe africain: « Si tu n’a pas étudié, voyage. »
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Re: l'éléfant bleue aux champs
De quelle droite, tu parles ?!
Si mais d'après les souvenirs, il finissait bien raide avec de la bonne caillasse !!!
Mais cette session nous a permis de faire du "jeter de jaune", nouvelle épreuve pachydo-desmodrilique
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- fifi81
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Re: l'éléfant bleue aux champs
le meilleur jaune, c'est celui qu'on trouve dans un verre d'eau (sans le noyer ).
Et après, pas de bobo?
Et après, pas de bobo?
méfiez-vous, je suis un "elefant'aisiste"
Re: l'éléfant bleue aux champs
Non, juste une bonne tranche de rigolade mais en parlera sans doute mieux que moi
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Re: l'éléfant bleue aux champs
... Euh, désolé je voulais Toane en parlera sans doute mieux que moi !!
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Bravo Fifi : c'est exactement pour ça que nos motos sont faites, et le point saillant, s'pas, c'est que nous ne sommes pas forcément tous prêts à faire ce pour quoi elles sont faites.
À la lecture des CR de Mimi et Gégé, de Mickey, de Phil, de Joel, de To@ne, de Seb et tant d'autres dans leurs virées en TT, on en prend la mesure.
J'apprécie particulièrement comment cet été, le TT alpin a pu être adapté aux aptitudes moindres qui étaient les miennes, ne serait-ce que dans la patience dont ont fait preuve les cornacs qui m'attendaient régulièrement, même s'ils diront que ce n'était pas si fréquent et pas si longtemps :
je me suis vu rester trop longtemps en frein moteur sur les descentes dans les cailloux et même chauffer le frein arrière, quand Gégé m'a conseillé d'engager plus en troisième plutôt qu'en seconde quand on pouvait, ou bien plus haut dans les tours, en freinant derrière si c'était nécessaire avant de tourner aux épingles ( et du coup re frein moteur jusqu'à ce que ça refroidisse ).
Mais l'esprit, comme dit Gégé, c'est d'y aller, et on a gardé quand même de bonnes postures et des savoirs faire du temps où qu'on était djeunz :
c'est juste ce réservoir un peu large qui m'a un peu handicapé, même si en fait c'est tout dans la tête que ça bloque, quand on a des appréhensions : à cheval, on a les étriers à la verticale des flancs de l'animal, les pieds écartés à la même largeur;
là, on a les genoux écartés comme le réservoir et les pieds resserrés à la largeur moindre des repose-pieds, et du coup, ce n'est pas commode d'être debout, alors on finit, ce qui est un comble en TT, par avoir mal au cul en étant resté assis, ave des passages où ce n'est pas vraiment indiqué!!!
À la lecture des CR de Mimi et Gégé, de Mickey, de Phil, de Joel, de To@ne, de Seb et tant d'autres dans leurs virées en TT, on en prend la mesure.
J'apprécie particulièrement comment cet été, le TT alpin a pu être adapté aux aptitudes moindres qui étaient les miennes, ne serait-ce que dans la patience dont ont fait preuve les cornacs qui m'attendaient régulièrement, même s'ils diront que ce n'était pas si fréquent et pas si longtemps :
je me suis vu rester trop longtemps en frein moteur sur les descentes dans les cailloux et même chauffer le frein arrière, quand Gégé m'a conseillé d'engager plus en troisième plutôt qu'en seconde quand on pouvait, ou bien plus haut dans les tours, en freinant derrière si c'était nécessaire avant de tourner aux épingles ( et du coup re frein moteur jusqu'à ce que ça refroidisse ).
Mais l'esprit, comme dit Gégé, c'est d'y aller, et on a gardé quand même de bonnes postures et des savoirs faire du temps où qu'on était djeunz :
c'est juste ce réservoir un peu large qui m'a un peu handicapé, même si en fait c'est tout dans la tête que ça bloque, quand on a des appréhensions : à cheval, on a les étriers à la verticale des flancs de l'animal, les pieds écartés à la même largeur;
là, on a les genoux écartés comme le réservoir et les pieds resserrés à la largeur moindre des repose-pieds, et du coup, ce n'est pas commode d'être debout, alors on finit, ce qui est un comble en TT, par avoir mal au cul en étant resté assis, ave des passages où ce n'est pas vraiment indiqué!!!
Ça trompe énormément, ou ça ne trompe pas énormément, là est la question
- To@ne
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Alors je vois que ça balance, là
Le lancer de jaune est né à la première Jacouillaise.
La jaune était en mixte.
Coolfred a commencé au bout d'une dizaine de minute en TT, sur une petite bosse, au pas, quelqu'un s'arrête juste devant lui, il pose pied mais trouve le sol bien avant ce qu'il pensait, la moto tombe doucement sur le côté.
Coolfred se fait désirer dans une clairière alors qu'on est tous arrêté depuis un moment. On commence à penser qu'il s'en est mis une. Gagné, avant qu'on reparte voir où il est, il arrive en mode vanille-chocolat, ayant glissé dans une flaque de boue... évidément, il est repeint d'un côté.
Je prend le relais en prêtant ma moto et par un concours de prêt, je me retrouve avec la jaune sur un chemin type pierrier léger. Pas de crampon comme sur la mienne. Je fais une petite erreur avec la roue avant et la moto part d'un coup vers la droite.
J'évite un arbre en couchant la moto à basse vitesse.
Plus tard, on arrive à un endroit où l'on peut traverser un lit de torrent à sec puis remonter un coup de cul un peu caillasseux mais pas non plus terrible par rapport à ce qu'on avait fait avant.
Je suis étonné que tout le monde veuille contourner par la route et me lance en disant que ça passe facile. Oups.
Je descend dans le lit du torrent, tout se passe bien jusqu'au moment où je met un bon coup d'accélérateur pour remonter le coup de cul en passant par inadvertance sur une grosse caillasse qui roule... et dévie la roue arrière, me faisant partir complètement de biais... du coup plutôt que de monter droit, je tire à gauche, mange la bordure, la moto saute un petit coup, re-atterri dans l'herbe bien plus pentue que le coup de cul original... et je me couche...
... et tout le monde me chambre. J'ai mérité.
Là est né le lancé ou le jeté de jaune.
On a bien rigolé. Cette année, ce sera la dernière de la jaune en jaune (ce qui ne veut pas dire qu'il faut se mettre par terre tout le temps...)...
Le lancer de jaune est né à la première Jacouillaise.
La jaune était en mixte.
Coolfred a commencé au bout d'une dizaine de minute en TT, sur une petite bosse, au pas, quelqu'un s'arrête juste devant lui, il pose pied mais trouve le sol bien avant ce qu'il pensait, la moto tombe doucement sur le côté.
Coolfred se fait désirer dans une clairière alors qu'on est tous arrêté depuis un moment. On commence à penser qu'il s'en est mis une. Gagné, avant qu'on reparte voir où il est, il arrive en mode vanille-chocolat, ayant glissé dans une flaque de boue... évidément, il est repeint d'un côté.
Je prend le relais en prêtant ma moto et par un concours de prêt, je me retrouve avec la jaune sur un chemin type pierrier léger. Pas de crampon comme sur la mienne. Je fais une petite erreur avec la roue avant et la moto part d'un coup vers la droite.
J'évite un arbre en couchant la moto à basse vitesse.
Plus tard, on arrive à un endroit où l'on peut traverser un lit de torrent à sec puis remonter un coup de cul un peu caillasseux mais pas non plus terrible par rapport à ce qu'on avait fait avant.
Je suis étonné que tout le monde veuille contourner par la route et me lance en disant que ça passe facile. Oups.
Je descend dans le lit du torrent, tout se passe bien jusqu'au moment où je met un bon coup d'accélérateur pour remonter le coup de cul en passant par inadvertance sur une grosse caillasse qui roule... et dévie la roue arrière, me faisant partir complètement de biais... du coup plutôt que de monter droit, je tire à gauche, mange la bordure, la moto saute un petit coup, re-atterri dans l'herbe bien plus pentue que le coup de cul original... et je me couche...
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------------------
To@ne, éleveur d'Elefant.
906 IE Lucky Explorer n°959 '92
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Re: l'éléfant bleue aux champs
l'éléman a écrit :Non, juste une bonne tranche de rigolade mais en parlera sans doute mieux que moi
Euh Manu, tu dire Toane en parlerait sans doute mieux que toi , non ?l'éléman a écrit :... Euh, désolé je voulais Toane en parlera sans doute mieux que moi !!
100 % contre la langue de bois.
"Répétez au monde entier que la chose qui rend le plus heureux au monde, c'est la solidarité."
Jean-Louis Bernardini (leader et chanteur du groupe corse "I Muvrini")
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Ou quelque chose comme ça, ouiLucky a écrit : Euh Manu, tu dire Toane en parlerait sans doute mieux que toi , non ?
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Re: l'éléfant bleue aux champs
ça avait effectivement l'air assez drôle mais perso, comme je suis plutôt douillet, je préfère faire rire en perdant mes clefs, au moins, c'est pas douloureux
méfiez-vous, je suis un "elefant'aisiste"
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Oh ben vu le tapis d'herbe, et la vitesse (digne d'un gastéropode en pleine bourre) à laquelle je suis arrivé, je me suis pas fait mal du tout...
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Ecoutant vos conseils avisés (ne pas partir seul) mais décidé à continuer mon expérience "off-road", je me suis rapproché via "fesses de bouc" de greg, la patron de "rando moto trail découverte".
Devant mon inexpérience totale, celui-ci m'a conseille de commencer par une rando "débutant" sur une journée
Rendez-vous est donc pris vendredi à 7 h 15 sur un parking d'Albi,( Greg n'habite qu'à quelques kilomètres de chez moi), la bleue sur ma remorque depuis la veille, et nous voilà partis direction Toulouse pour y récupérer Didier et Nathalie qui ont troqué leurs 1200 GS et 700 GS respectifs contre les 250 CRF de location de Greg.
Pas évident pour Nathalie dont les 2 pieds ne peuvent simultanément toucher le sol et loin de là.
Nous arriverons à destination vers 10 H aux confins de l'Aude et de l'Ariège, à PUIVERT pour ceux qui connaissent et nous voilà partis pour une journée champêtre. (une partie des photos a été prise par Greg qui arrive à photographier en roulant)
les débuts sont évidemment très prudents mais pour l'instant tout va bien
je prends même le temps de m'arrêter prendre une photo pendant que les autres s'en vont.
Les chemins sont sympa et les couleurs d'automne commencent à apparaître.
Nous sommes presque dans les Pyrénées et les vaches sont en liberté
Nous sommes arrivés au pied de la difficulté du jour, une montée grasse avec des cailloux formant des marches.
Pas facile de trouver un autre parcours, Greg montera donc la moto de Nathalie et Didier et moi essaierons de monter par nos propres moyens.
Mission réussie pour Didier, moi je me plante à la première marche et mon elef se couche dans la boue.
Je me suis jetée sur le côté pour qu'elle ne me retombe pas dessus, pas de bobo pour le pachyderme ni le cornac.
Greg essaie de la monter mais il nous faudra pousser à 3 alors que le pneu fume comme si c'était un stunt.
Finalement après une deuxième marche ou il faudra encore pousser, les motos sont en haut.
Ca y est, les marches sont passées
Greg dans la montée.
Quelques kilomètres plus loin, une halte dans un petit restau permettra de refaire le plein d'enrergie et de se réchauffer un peu car malgré le soleil, la température n'excède pas les 6 à 8 °.
En début d'après-midi Didier est victime d'une crevaison à l'arrière.
La réparation à la bombe ne marchera pas.
Un endroit semi ensoleillé avec des bouts de bois à dispo permettra de démonter la roue et changer la chambre à air.
Là, on voit pas bien la boue sur l'elef mais si, il y en a, promis.
Et c'est reparti sur les pistes forestières
Je commence à prendre un peu plus confiance dans les chemins et à m'amuser un peu.
Je ne peux pas m'arrêter à tous mais les points de vue sont fantastiques.
Et toujours ces chemins forestiers fantastiques.
A côté de Didier
Petit arrêt avec Nathalie et Didier le temps que Greg refasse le point sur son GPS.
Vous trouvez pas que ça ressemble à l'Auvergne?
Le soleil commence à baisser
La vue du château de PUIVERT annonce le retour au parking ou nous attendent voitures et remorques qui nous ramèneront au bercail après cette journée fantastique qui ne m'a donné qu'une envie, en refaire d'autres.
Devant mon inexpérience totale, celui-ci m'a conseille de commencer par une rando "débutant" sur une journée
Rendez-vous est donc pris vendredi à 7 h 15 sur un parking d'Albi,( Greg n'habite qu'à quelques kilomètres de chez moi), la bleue sur ma remorque depuis la veille, et nous voilà partis direction Toulouse pour y récupérer Didier et Nathalie qui ont troqué leurs 1200 GS et 700 GS respectifs contre les 250 CRF de location de Greg.
Pas évident pour Nathalie dont les 2 pieds ne peuvent simultanément toucher le sol et loin de là.
Nous arriverons à destination vers 10 H aux confins de l'Aude et de l'Ariège, à PUIVERT pour ceux qui connaissent et nous voilà partis pour une journée champêtre. (une partie des photos a été prise par Greg qui arrive à photographier en roulant)
les débuts sont évidemment très prudents mais pour l'instant tout va bien
je prends même le temps de m'arrêter prendre une photo pendant que les autres s'en vont.
Les chemins sont sympa et les couleurs d'automne commencent à apparaître.
Nous sommes presque dans les Pyrénées et les vaches sont en liberté
Nous sommes arrivés au pied de la difficulté du jour, une montée grasse avec des cailloux formant des marches.
Pas facile de trouver un autre parcours, Greg montera donc la moto de Nathalie et Didier et moi essaierons de monter par nos propres moyens.
Mission réussie pour Didier, moi je me plante à la première marche et mon elef se couche dans la boue.
Je me suis jetée sur le côté pour qu'elle ne me retombe pas dessus, pas de bobo pour le pachyderme ni le cornac.
Greg essaie de la monter mais il nous faudra pousser à 3 alors que le pneu fume comme si c'était un stunt.
Finalement après une deuxième marche ou il faudra encore pousser, les motos sont en haut.
Ca y est, les marches sont passées
Greg dans la montée.
Quelques kilomètres plus loin, une halte dans un petit restau permettra de refaire le plein d'enrergie et de se réchauffer un peu car malgré le soleil, la température n'excède pas les 6 à 8 °.
En début d'après-midi Didier est victime d'une crevaison à l'arrière.
La réparation à la bombe ne marchera pas.
Un endroit semi ensoleillé avec des bouts de bois à dispo permettra de démonter la roue et changer la chambre à air.
Là, on voit pas bien la boue sur l'elef mais si, il y en a, promis.
Et c'est reparti sur les pistes forestières
Je commence à prendre un peu plus confiance dans les chemins et à m'amuser un peu.
Je ne peux pas m'arrêter à tous mais les points de vue sont fantastiques.
Et toujours ces chemins forestiers fantastiques.
A côté de Didier
Petit arrêt avec Nathalie et Didier le temps que Greg refasse le point sur son GPS.
Vous trouvez pas que ça ressemble à l'Auvergne?
Le soleil commence à baisser
La vue du château de PUIVERT annonce le retour au parking ou nous attendent voitures et remorques qui nous ramèneront au bercail après cette journée fantastique qui ne m'a donné qu'une envie, en refaire d'autres.
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Super initiative, bravo Fifi
Quand les Dieux parlent à voix basse, on peut entendre la Paix
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Re: l'éléfant bleue aux champs
Bravo à tous points de vue Fifi et faire de l'initiation dans d'aussi beaux décors c'est le top
La seule chose qu'on est sûr de ne pas réussir est celle qu'on ne tente pas - P.E Victor