Re: La Jacouillaise 2016
Posté : mar. 8 nov. 2016 00:39
Bon.
À cette heure, on devrait tous être sortis de table..
Il me semble que ça ressemble à quelque chose que j'avais déjà trouvé, mais dans la canalisation des eaux usées de mon cousin, enfin, de sa maison, vous aurez compris..
Et je me demande si Max ou sa team ménagère, ils n'auraient pas jeté dans les vécés de la graisse provenant de la cuisson de confits ou d'autres plats cuisinés dans la graisse..
Dans les tuyaux, ça se dépose là où ça ralentit, où ça refroidit et où ça stagne
en formant des plaques successives les unes sur les autres et en s'amalgamant avec le reste,
comme des plaques d'athérum,
en particulier quand il commence à faire froid, quand ça durcit mieux..
Donc : la graisse d'oie ou de canard au fond du plat, c'est mieux de la garder
pour faire cuire les frites ou les pommes de terre à la sarladaise plus tard,
et forcément ça présente mieux en photo, du coup...
Tous les sarladais et les souillacais le diront, s'pas Geof?
Après, on peut rappeler qu'il y a eu, il y a une vingtaine d'années et plus,
une communication de toubibs à l'issue d'un colloque sur l'athérosclérose,
au cours duquel il avait été évoqué que malgré la cuisine à la graisse d'oie ou de canard,
les habitants de la Dordogne n'étaient curieusement pas autant qu'ailleurs sujets à l'hypercholestérolémie,
et qu'on avait élucidé que c'était grâce au tanin du vin rouge de cette belle contrée,
très tanique donc, qui avait la propriété d'améliorer l'élimination du mauvais cholestérol...
Ce qu'on n'a pas dit, alors, à l'issue du colloque,
mais qui apparaît comme fort probable cependant,
c'est qu'en Dordogne, les chiottes sont plus rarement bouchées
de la moitié de l'automne à celle du printemps,
parce qu'on réutilise la graisse des confits pour cuisiner les patates
au lieu de la jeter dans les cabinets...
Ce que doivent approuver, là-haut au paradis des gastronomes,
Pierre Desproges et Jean-Pierre Coffe..
À cette heure, on devrait tous être sortis de table..
Il me semble que ça ressemble à quelque chose que j'avais déjà trouvé, mais dans la canalisation des eaux usées de mon cousin, enfin, de sa maison, vous aurez compris..
Et je me demande si Max ou sa team ménagère, ils n'auraient pas jeté dans les vécés de la graisse provenant de la cuisson de confits ou d'autres plats cuisinés dans la graisse..
Dans les tuyaux, ça se dépose là où ça ralentit, où ça refroidit et où ça stagne
en formant des plaques successives les unes sur les autres et en s'amalgamant avec le reste,
comme des plaques d'athérum,
en particulier quand il commence à faire froid, quand ça durcit mieux..
Donc : la graisse d'oie ou de canard au fond du plat, c'est mieux de la garder
pour faire cuire les frites ou les pommes de terre à la sarladaise plus tard,
et forcément ça présente mieux en photo, du coup...
Tous les sarladais et les souillacais le diront, s'pas Geof?
Après, on peut rappeler qu'il y a eu, il y a une vingtaine d'années et plus,
une communication de toubibs à l'issue d'un colloque sur l'athérosclérose,
au cours duquel il avait été évoqué que malgré la cuisine à la graisse d'oie ou de canard,
les habitants de la Dordogne n'étaient curieusement pas autant qu'ailleurs sujets à l'hypercholestérolémie,
et qu'on avait élucidé que c'était grâce au tanin du vin rouge de cette belle contrée,
très tanique donc, qui avait la propriété d'améliorer l'élimination du mauvais cholestérol...
Ce qu'on n'a pas dit, alors, à l'issue du colloque,
mais qui apparaît comme fort probable cependant,
c'est qu'en Dordogne, les chiottes sont plus rarement bouchées
de la moitié de l'automne à celle du printemps,
parce qu'on réutilise la graisse des confits pour cuisiner les patates
au lieu de la jeter dans les cabinets...
Ce que doivent approuver, là-haut au paradis des gastronomes,
Pierre Desproges et Jean-Pierre Coffe..